Le feedback en management : comment l’utiliser efficacement?

Le feedback en management : comment l’utiliser efficacement?

Le développement des compétences relationnelles et comportementales sont sous-représentés dans les études d’ingénieur. Elles tendent néanmoins à se développer et à se généraliser dans les écoles depuis 10 bonnes années. Et pour cause, les compétences relationnelles sont devenues un véritable levier de succès dans votre carrière d’ingénieur. Mais de quoi s’agit-il au juste ? Nous vous proposons d’explorer les compétences relationnelles essentielles dans cet article.

 

Développer une écoute active pour une meilleure communication

 

Développer une écoute active est une des compétences relationnelles clés pour les ingénieurs. L’écoute active, c’est comprendre sans interrompre, en montrant de l’empathie. 

Voici quelques astuces pour améliorer votre écoute active : 

  • Restez concentrés sur l’interlocuteur, évitez les distractions.
  • Reformulez ce que dit l’autre pour vérifier votre compréhension.
  • Évitez de juger ou de donner votre opinion sans y être invités.

 

Une bonne communication peut améliorer votre collaboration avec vos collègues. Ces compétences relationnelles peuvent vous aider à résoudre les conflits de manière plus efficace.

 L’écoute active peut aussi aider à créer un environnement de travail plus agréable. Elle peut même vous aider à mieux comprendre les besoins de vos clients. Donnez-lui une place dans votre panoplie de compétences relationnelles.

 

Maîtriser l’art du feedback constructif pour gérer les conflits

 

Parmis les compétences relationnelles à développer, la maîtrise l’art du feedback constructif est à considérer avec attention.  

Le feedback constructif permet d’améliorer le travail d’équipe. Il favorise la communication, l’échange d’idées et le respect mutuel. Il aide également à identifier les points à améliorer et à trouver des solutions. De plus, savoir donner et recevoir des critiques constructives peut aider à gérer les conflits.

 

Voici quelques conseils pour maîtriser l’art du feedback constructif : 

  • Restez factuel et précis dans vos commentaires
  • Exprimez vos observations sans jugement
  • Proposez des solutions plutôt que de souligner les problèmes
  • Faites preuve d’empathie et de compréhension

 

En tant qu’ingénieur, vous savez être factuel et précis. Le problème, c’est que vous focalisez peut être trop sur la qualité technique du produit ou service réalisé. Or, il est utile de faire également des feedbacks à vos équipes et vos collaborateurs sur leur attitude et leurs comportements. Est-ce que vous êtes à l’aise pour faire respecter les règles ? Est-ce que vous valoriser suffisamment vos collaborateurs ?

Les compétences relationnelles comme les compétences techniques se développent comme un muscle en les exerçant. Alors formez-vous et apprenez par la pratique à délivrer des feedbacks constructifs. 

 

Cultiver l’empathie pour mieux comprendre ses collègues

 

Dans l’univers professionnel, cultiver l’empathie est une des compétences relationnelles les plus utiles.

 L’empathie, c’est se mettre à la place de l’autre, ressentir ses émotions. Elle donne un aperçu des motivations, des craintes ou des aspirations de vos collègues. Une telle compréhension facilite la collaboration et la communication lors qu’elle est utilisée avec l’intention de construire des relations de confiance.

Comment cultiver l’empathie ? Soyez à l’écoute. Observez. Cherchez à comprendre, plutôt qu’à juger.

Exprimez votre soutien et votre compréhension. Et pas besoin de s’étendre en long discours. Quelques mots sincères, qui montrent à l’autre que vous avez compris son besoin et son ressenti, font déjà la différence pour approfondir la qualité des relations. Tout comme le feedback, c’est une compétence relationnelle qui se développe avec la pratique. 

 

Adopter une attitude positive pour favoriser le travail en équipe

 

De solides compétences relationnelles sont le ciment de la réussite en équipe. Que vous soyez manager ou simple collaborateur, adopter une attitude positive vous permet de travailler sereinement avec vos collègues. Soyez ouvert, aimable et à l’écoute. Une équipe qui communique bien est une équipe qui réussit. 

Pensez à valoriser le travail de chacun. Dès que vous en avez l’occasion, célébrez publiquement les victoires d’équipes et les contributions individuelles. Cela permet aux collaborateurs de comprendre les comportements attendus et ceux à proscrire. C’est un outil doux pour favoriser l’auto-régulation des collectifs. 

Respectez les idées et les points de vue de vos collègues. Les ingénieurs ont tendance à vouloir convaincre du bien fondé de la solutions qu’ils apportent davantage à écouter. C’est le travers de la posture d’expert. Il s’agit d’en être conscient pour progressivement changer sa façon d’argumenter et de prendre position. 

Persévérez, encouragez vos collègues et tirez des leçons des échecs. Les compétences relationnelles sont un atout indéniable pour votre carrière.

 

 

En somme, vous l’aurez compris, les compétences relationnelles s’imposent comme des atouts incontournables pour la carrière des ingénieurs. Elles permettent non seulement de se démarquer, mais aussi d’améliorer la collaboration et la gestion de projets. Alors, n’hésitez plus à les développer et à les valoriser, votre succès professionnel en dépend grandement.

 

Pour aller plus loin, découvrez notre catalogue de formations

Les compétences relationnelles : enjeux majeurs pour la carrière des ingénieurs

Les compétences relationnelles : enjeux majeurs pour la carrière des ingénieurs

Le développement des compétences relationnelles et comportementales sont sous-représentés dans les études d’ingénieur. Elles tendent néanmoins à se développer et à se généraliser dans les écoles depuis 10 bonnes années. Et pour cause, les compétences relationnelles sont devenues un véritable levier de succès dans votre carrière d’ingénieur. Mais de quoi s’agit-il au juste ? Nous vous proposons d’explorer les compétences relationnelles essentielles dans cet article.

 

Développer une écoute active pour une meilleure communication

 

Développer une écoute active est une des compétences relationnelles clés pour les ingénieurs. L’écoute active, c’est comprendre sans interrompre, en montrant de l’empathie. 

Voici quelques astuces pour améliorer votre écoute active : 

  • Restez concentrés sur l’interlocuteur, évitez les distractions.
  • Reformulez ce que dit l’autre pour vérifier votre compréhension.
  • Évitez de juger ou de donner votre opinion sans y être invités.

 

Une bonne communication peut améliorer votre collaboration avec vos collègues. Ces compétences relationnelles peuvent vous aider à résoudre les conflits de manière plus efficace.

 L’écoute active peut aussi aider à créer un environnement de travail plus agréable. Elle peut même vous aider à mieux comprendre les besoins de vos clients. Donnez-lui une place dans votre panoplie de compétences relationnelles.

 

Maîtriser l’art du feedback constructif pour gérer les conflits

 

Parmis les compétences relationnelles à développer, la maîtrise l’art du feedback constructif est à considérer avec attention.  

Le feedback constructif permet d’améliorer le travail d’équipe. Il favorise la communication, l’échange d’idées et le respect mutuel. Il aide également à identifier les points à améliorer et à trouver des solutions. De plus, savoir donner et recevoir des critiques constructives peut aider à gérer les conflits.

 

Voici quelques conseils pour maîtriser l’art du feedback constructif : 

  • Restez factuel et précis dans vos commentaires
  • Exprimez vos observations sans jugement
  • Proposez des solutions plutôt que de souligner les problèmes
  • Faites preuve d’empathie et de compréhension

 

En tant qu’ingénieur, vous savez être factuel et précis. Le problème, c’est que vous focalisez peut être trop sur la qualité technique du produit ou service réalisé. Or, il est utile de faire également des feedbacks à vos équipes et vos collaborateurs sur leur attitude et leurs comportements. Est-ce que vous êtes à l’aise pour faire respecter les règles ? Est-ce que vous valoriser suffisamment vos collaborateurs ?

Les compétences relationnelles comme les compétences techniques se développent comme un muscle en les exerçant. Alors formez-vous et apprenez par la pratique à délivrer des feedbacks constructifs. 

 

Cultiver l’empathie pour mieux comprendre ses collègues

 

Dans l’univers professionnel, cultiver l’empathie est une des compétences relationnelles les plus utiles.

 L’empathie, c’est se mettre à la place de l’autre, ressentir ses émotions. Elle donne un aperçu des motivations, des craintes ou des aspirations de vos collègues. Une telle compréhension facilite la collaboration et la communication lors qu’elle est utilisée avec l’intention de construire des relations de confiance.

Comment cultiver l’empathie ? Soyez à l’écoute. Observez. Cherchez à comprendre, plutôt qu’à juger.

Exprimez votre soutien et votre compréhension. Et pas besoin de s’étendre en long discours. Quelques mots sincères, qui montrent à l’autre que vous avez compris son besoin et son ressenti, font déjà la différence pour approfondir la qualité des relations. Tout comme le feedback, c’est une compétence relationnelle qui se développe avec la pratique. 

 

Adopter une attitude positive pour favoriser le travail en équipe

 

De solides compétences relationnelles sont le ciment de la réussite en équipe. Que vous soyez manager ou simple collaborateur, adopter une attitude positive vous permet de travailler sereinement avec vos collègues. Soyez ouvert, aimable et à l’écoute. Une équipe qui communique bien est une équipe qui réussit. 

Pensez à valoriser le travail de chacun. Dès que vous en avez l’occasion, célébrez publiquement les victoires d’équipes et les contributions individuelles. Cela permet aux collaborateurs de comprendre les comportements attendus et ceux à proscrire. C’est un outil doux pour favoriser l’auto-régulation des collectifs. 

Respectez les idées et les points de vue de vos collègues. Les ingénieurs ont tendance à vouloir convaincre du bien fondé de la solutions qu’ils apportent davantage à écouter. C’est le travers de la posture d’expert. Il s’agit d’en être conscient pour progressivement changer sa façon d’argumenter et de prendre position. 

Persévérez, encouragez vos collègues et tirez des leçons des échecs. Les compétences relationnelles sont un atout indéniable pour votre carrière.

 

 

En somme, vous l’aurez compris, les compétences relationnelles s’imposent comme des atouts incontournables pour la carrière des ingénieurs. Elles permettent non seulement de se démarquer, mais aussi d’améliorer la collaboration et la gestion de projets. Alors, n’hésitez plus à les développer et à les valoriser, votre succès professionnel en dépend grandement.

 

Pour aller plus loin, découvrez notre catalogue de formations

Comment développer sa confiance en soi au travail ?

Comment développer sa confiance en soi au travail ?

Dans un environnement professionnel de plus en plus exigeant, il est essentiel de cultiver une qualité personnelle qui peut faire toute la différence : l’assurance en ses compétences. La manière dont nous développons la confiance en soi au travail, joue un rôle essentiel dans notre épanouissement et notre réussite. Découvrons ensemble les clés pour renforcer cette précieuse ressource.

Qu’est-ce que la confiance en soi au travail ?

La confiance en soi au travail, également connue sous le nom de « confiance en soi professionnelle » ou « estime de soi au travail », est un concept psychologique qui se réfère à la croyance en ses propres compétences, capacités et valeurs dans le contexte professionnel. Cette confiance en soi peut influencer la façon dont une personne aborde son travail, interagit avec ses collègues, prend des décisions et atteint ses objectifs au sein de son environnement professionnel.

 

Albert Bandura, psychologue social renommé, a développé la théorie de l’auto efficacité, qui décrit la confiance en soi comme la croyance d’une personne en sa capacité à accomplir une tâche spécifique. Selon cette théorie, une forte auto efficacité au travail peut conduire à une meilleure performance et à une plus grande résilience face aux obstacles professionnels.

 

Cette confiance repose sur l’estime de soi, la reconnaissance de nos forces et de nos faiblesses, ainsi que sur notre capacité à gérer le stress et les critiques. Elle se manifeste dans nos interactions avec les collègues, les supérieurs et les clients, influençant notre attitude, notre communication, et par conséquent, notre performance au travail

Identifier les barrières à la confiance en soi

Identifier les barrières à la confiance en soi est une première étape dans son renforcement. 

Parmi ces obstacles, le manque d’expérience, les expériences passées ou encore le stress quotidien au travail se dressent en tant qu’adversaires majeurs. Lorsque nous sommes constamment soumis à des pressions et des exigences, il devient difficile d’oser davantage, de passer à l’action, et de développer nos capacités professionnelles. Cette tension permanente peut nous amener à douter de nos compétences, à remettre en question nos décisions, et à perdre de vue notre potentiel.

Les barrières de la confiance en soi sont souvent internes et externes, entravant notre estime de soi au quotidien. Les critiques constantes, l’autocritique excessive, la peur du jugement des autres, et les échecs passés sont autant d’obstacles qui peuvent miner notre confiance. La prise de conscience de ces barrières est essentielle pour les surmonter et renforcer notre confiance en nous-mêmes.

Reconnaître les signes d’un manque de confiance en soi au travail

Pour entamer le processus de renforcement de votre confiance en vous au travail, vous devez d’abord reconnaître certains des signes indiquant que vous en souffrez :

  • L’évitement des responsabilités : Vous avez souvent tendance à éviter les tâches ou les projets qui vous mettraient en première ligne ou qui comportent un risque de critique. Vous préférez rester dans votre zone de confort pour éviter tout échec potentiel.
  • La recherche constante d’approbation : vous cherchez fréquemment la validation et l’approbation des autres. Vous avez du mal à prendre des décisions par vous-mêmes et attendez souvent des signes d’encouragement de la part de vos supérieurs ou de vos collègues.
  • La tendance à se sous-estimer : vous avez souvent du mal à évaluer correctement vos compétences. Vous avez tendance à vous sous-estimer et à ne pas reconnaître votre réelle valeur professionnelle. De plus, vous avez une certaine tendance à l’autocritique et vous vous sous-évaluez. Cela peut créer un cercle vicieux de doutes et d’insécurité.
  • La procrastination : le manque de confiance en vous peut paralyser l’action. Vous pouvez repousser les tâches importantes par peur de l’échec.
  • Le perfectionnisme excessif : chercher la perfection peut être une stratégie de compensation pour combler un manque de confiance en vous. Cependant, cela peut mener à des retards, à un stress inutile, et à une insatisfaction constante.

Il est important de comprendre que ces barrières peuvent être surmontées ! En identifiant ces signes chez vous, il devient possible de mettre en place des stratégies pour développer votre confiance en vous au travail.

Techniques pour développer la confiance en soi

Reconnaître ses compétences et ses succès au travail 

Souvent, nous avons tendance à minimiser nos réalisations et à nous concentrer sur nos lacunes, négligeant ainsi les preuves tangibles de notre valeur professionnelle. Un exercice simple, mais puissant consiste à dresser une liste de 10 succès professionnels passés. Ces réussites peuvent être de toutes tailles, depuis la réalisation d’une tâche complexe jusqu’à la résolution d’un problème quotidien. L’acte de noter ces succès permet de les ancrer dans votre conscience, de mettre en évidence vos compétences et votre capacité à surmonter les défis.

Cet exercice encourage également une réflexion positive sur votre parcours professionnel, vous aidant à reconnaître que vous avez déjà surmonté des obstacles similaires par le passé. En se remémorant ces réussites, vous pouvez identifier vos forces, vos compétences clés, et les stratégies qui ont fonctionné pour vous. Cette prise de conscience peut servir de base solide pour développer votre confiance en vous au travail.

Il est important de noter que la confiance en soi n’est pas figée, mais plutôt une compétence que l’on peut cultiver et renforcer au fil du temps. En reconnaissant activement vos compétences et en célébrant vos succès, vous pouvez progressivement libérer votre potentiel professionnel et vous sentir mieux préparé à relever les défis futurs avec une assurance renouvelée.

Boostez votre carrière dès maintenant avec un bilan de compétences Pep’s et identifier les compétences qui vous sont propres !

Pratiquer la philosophie Kaizen

La philosophie Kaizen, d’origine japonaise, repose sur la notion de l’amélioration continue. Elle préconise de commencer par des actions modestes et réalisables, puis d’augmenter progressivement le niveau de challenge au fur et à mesure que l’on acquiert de l’expérience et de la confiance en soi. Cette approche favorise la constance et la persévérance, tout en réduisant la pression liée aux grands objectifs.

Un aspect clé de la philosophie Kaizen est la célébration des petites et grandes victoires. En reconnaissant et en récompensant les progrès, même minimes, on renforce la motivation et la satisfaction personnelle. Cela crée un cercle vertueux d’engagement et d’amélioration continue, où chaque étape est valorisée, stimulant ainsi la confiance en soi et le désir de relever des défis plus ambitieux. C’est une approche équilibrée et durable de l’atteinte de ses objectifs, mettant l’accent sur la célébration du parcours tout autant que sur l’accomplissement final.

Changer son regard sur l’échec

Trop souvent, nous percevons l’échec comme une marque de faiblesse ou de déficience, ce qui peut engendrer la peur de l’échec et entraver notre croissance. Cependant, il est essentiel de comprendre que l’échec est une partie inévitable de la vie et qu’il peut offrir d’importantes leçons et opportunités.

Tout d’abord, l’échec ne devrait pas être perçu comme une fin en soi, mais plutôt comme une étape vers la réussite. Il est souvent nécessaire pour apprendre, grandir et évoluer. En adoptant une mentalité de croissance, nous pouvons voir l’échec comme une occasion d’acquérir de l’expérience, d’ajuster notre approche et de devenir plus résilients.

De plus, changer son regard sur l’échec signifie reconnaître que les erreurs ne définissent pas notre valeur personnelle. En développant une attitude bienveillante envers soi-même, nous pouvons mieux gérer les revers et rebondir plus rapidement.

Enfin, l’échec peut être source d’inspiration. De nombreuses réussites emblématiques sont précédées de multiples échecs. En changeant notre perspective, nous pouvons voir l’échec comme un moteur de motivation, nous incitant à persévérer, à innover et à travailler dur pour atteindre nos objectifs.

Pour aller plus loin sur le sujet, nous vous recommandons le livre Les vertus de l’échec du philosophe français Charles Pépin. 

 

Le développement de la confiance en soi au travail est un voyage personnel à entamer pour une carrière épanouissante. En adoptant des approches, on peut progressivement renforcer cette qualité précieuse, ouvrant la voie à la réussite professionnelle et personnelle.

Vous souhaitez développer votre confiance en vous au travail, mais vous ne savez pas par où commencer ?

Améliorez la gestion de vos priorités avec 2 outils

Améliorez la gestion de vos priorités avec 2 outils

Saviez-vous que vos journées pourraient être plus productives si vous saviez mieux gérer vos priorités ? Éviter le stress et l’éparpillement tout en respectant vos délais est possible grâce à deux outils concrets. Suivez-nous dans cet article pour découvrir comment améliorer votre gestion des priorités.

Identifier et classer ses priorités avec la matrice Eisenhower

La matrice Eisenhower est l’un des 2 outils concrets pour mieux gérer les priorités. Elle vous aide à identifier et classer vos tâches. Elle se compose de quatre quadrants : important et urgent, important mais pas urgent, pas important mais urgent, pas important et pas urgent.

Les tâches importantes et urgentes sont celles que vous devez faire immédiatement. C’est par exemple un imprévu à traiter en urgence à la demande de votre chef ou d’un client pour éviter des impacts néfastes pour vous ou votre mission. 

Les tâches importantes mais pas urgentes sont celles que vous devez planifier pour plus tard, à l’aide de votre agenda. Lorsque vous travaillez sur un projet, beaucoup de tâches sont importantes et nécessitent du temps et des efforts pour les réaliser correctement. Mais l’être humain à tendance à surestimer ce qu’il peut faire en 1 semaine et à sous-estimer ce qu’il peut faire en 1 an. Viser le temps long en planifiant vos actions sur plusieurs semaines ou plusieurs mois vous permettra d’être moins stressé et d’améliorer votre productivité. 

Les tâches non importantes mais urgentes peuvent être déléguées. Ce sont toutes les choses à faire, mais sur lesquelles votre implication n’apporte pas la plus grande valeur. Ainsi, peut être qu’un collaborateur a davantage d’affinités ou de compétences pour réaliser certaines tâches qui vous pèsent. Vous pouvez aussi chercher à établir des processus calibrés pour traiter des tâches qui se renouvèlent souvent. Par suite, cherchez à automatisez certaines tâches comme des réponses automatiques de mails ou la génération automatiques de fichiers. Vous restez alors focaliser sur votre valeur ajouté.

Enfin, les tâches non importantes et non urgentes sont celles que vous pouvez supprimer de votre liste. Et là, le conseil est tout simplement de ne pas faire.

Voici comment utiliser cette matrice :

  • Énumérez toutes vos tâches.
  • Identifiez leur urgence et leur importance.
  • Placez-les dans le quadrant correspondant.
  • Agissez en conséquence.

 

Cette matrice a vraiment sa place dans les 2 outils concrets pour mieux gérer les priorités. Utilisez là et vous constaterez rapidement une amélioration dans votre gestion du temps et des tâches. Bientôt, vous n’aurez plus besoin de placez les tâches dans les quadrants dans vos notes. Vous aurez intégré cette nouvelle façon d’aborder les priorités que vous appliquerez de façon naturelle.

Optimiser son agenda pour mieux gérer ses priorités

Abordons maintenant l’optimisation de votre agenda. L’agenda, qu’il soit papier ou numérique, est l’outil essentiel pour mieux gérer son temps et ses priorités. . Un agenda bien tenu vous offre une vision claire de vos tâches. Il vous permet de planifier efficacement votre temps.

Pour commencer, listez toutes vos tâches, y compris personnelles comme par exemple les moments prévus avec vos amis ou votre famille, ou encore vos rendez-vous chez le médecin. Ce peut être aussi des créneaux nécessaires de récupération ou de travail personnel sur un dossier important. Utilisez un seul agenda pour organiser vos tâches personnelles et professionnelles vous permettra de respecter plus facilement l’ensemble de vos rôles et responsabilités. C’est aussi cela savoir gérer ses priortiés. 

Utilisez des codes couleurs dans votre agenda. Cela facilite la distinction entre les types de tâches. C’est visuellement attrayant et cela simplifie la gestion de vos priorités.

Ensuite, récupérez dans la matrice d’Eisenhower les tâches que vous avez indiqué comme importantes et non urgente.  Affectez alors un créneau dédié à leur réalisation dans votre agenda. Ce peut d’être à l’horizon de la journée, de la semaine, du mois, du trimestre ou de l’année. L’être humain a tendance à surestimer ce qu’il peut faire sur une semaine et à sous-estimer ce qu’il peut faire sur une année. Planifiez vos tâches sur le moyen terme vous permet de ressentif moins de stress tout en conservant des objectifs réalisables et ambitieux. 

Enfin, prévoyez du temps pour les imprévus. Les urgences arrivent toujours quand on s’y attend le moins. Avoir une marge de manœuvre de l’ordre de 20% de temps en plus par tâche vous évite stress et précipitation.

 

Combinez la matrice d’Eisenhower et l’agenda pour une gestion efficace

Appliquez ces 2 outils concrets dans votre quotidien pour améliorer la gestion de vos priorités. La matrice Eisenhower vous aide à classer vos tâches selon leur urgence et leur importance. Ainsi, vous pouvez identifier les tâches à faire immédiatement, celles à planifier, celles à déléguer et celles à éliminer.

L’agenda, lui, vous permet de planifier ces tâches dans le temps. Vous évitez ainsi le stress de dernière minute et optimisez votre productivité. Combinez ces 2 outils concrets pour mieux gérer vos priorités et vous verrez une nette amélioration dans la gestion de votre temps.

Commencez par classer vos tâches avec la matrice Eisenhower. Puis, inscrivez-les dans votre agenda en respectant leur degré de priorité. Ainsi, vous vous assurez de ne rien oublier et de tout faire en temps et en heure. Adoptez ces 2 outils concrets pour mieux gérer vos priorités et vous serez surpris des résultats !

 

Evaluez et ajustez régulièrement l’utiisation de ces outils pour un rendement optimal

La gestion optimale de vos priorités nécessite une évaluation régulière de l’utilisation de vos 2 outils concrets. Une revue périodique vous permet d’ajuster leur utilisation en fonction de vos besoins spécifiques.

Commencez par observer vos habitudes de travail. Identifiez les moments de la journée où vous êtes le plus productif. Ces informations vous aideront à planifier efficacement vos tâches en utilisant vos 2 outils concrets pour mieux gérer les priorités.

Voici quelques indicateurs à surveiller :

  • le temps passé sur chaque tâche
  • le nombre de tâches terminées dans la journée ou dans la semaine
  • le niveau de satisfaction après avoir accompli une tâche

 

Pour un rendement optimal, n’oubliez pas d’adapter l’utilisation de vos 2 outils concrets selon les circonstances. Par exemple, si vous travaillez sur un projet à long terme, vous pourriez avoir besoin de les utiliser différemment.

En résumé, l’ajustement régulier de l’utilisation de vos outils est une étape clé pour améliorer la gestion de vos priorités. Soyez flexible et adaptez-vous à vos besoins changeants.

 

En somme, ces 2 outils concrets pour mieux gérer les priorités que sont la Matrice d’Eisenhower et l’agenda sont d’une aide précieuse pour optimiser la gestion de vos tâches et responsabilités. En les utilisant, vous pouvez non seulement améliorer votre efficacité et productivité, mais aussi gagner en sérénité en ayant une meilleure visibilité sur vos priorités. Alors n’hésitez pas à les essayer et à les adapter à votre propre rythme et style de travail. Le plus important est de vous sentir à l’aise et en contrôle de vos priorités.

    Pour aller plus loin, découvrez notre catalogue de formations

    Comment développer vos compétences soft skills efficacement ?

    Comment développer vos compétences soft skills efficacement ?

    Dans un monde en constante évolution, les compétences techniques ne suffisent plus pour réussir professionnellement. Les soft skills, ces qualités personnelles et sociales, jouent un rôle déterminant dans le développement de carrière. Oeuvre Collective vous aide à découvrir comment cultiver ces aptitudes essentielles pour naviguer avec succès dans le monde du travail moderne.

    Comprendre la notion de soft skills

    Les soft skills, également connues sous le nom de compétences comportementales ou transversales, représentent un aspect crucial du succès professionnel. Alors que les compétences « hard skills » correspondent aux capacités techniques liées à un métier, les « soft skills » quant à elles sont synonymes de savoir-être. Elles reflètent les qualités personnelles et sociales d’un individu, déterminant souvent sa capacité à collaborer efficacement, à communiquer clairement et à s’adapter aux changements.

    Elles englobent une vaste gamme d’aptitudes, allant de l’intelligence émotionnelle à la résolution de problèmes, en passant par la créativité. Ces compétences sont caractéristiques de la personnalité d’un individu et ne se limitent pas à un domaine spécifique.

    L’importance dans le monde professionnel 

    Dans un marché du travail compétitif, les soft skills font désormais la différence entre les candidats. Les entreprises recherchent activement des individus capables de s’adapter rapidement aux changements, de travailler en équipe et de démontrer une forte capacité à résoudre les problèmes de manière novatrice. Selon le réseau social LinkedkIn, 92 % des entreprises partagent l’opinion selon laquelle les compétences comportementales ont atteint une importance équivalente à celle des compétences techniques, communément appelées « soft skills » et « hard skills ».

    Identifier les soft skills les plus recherchées

    Face à l’évolution rapide du monde professionnel, certaines soft skills sont particulièrement recherchées par les employeurs. Ces aptitudes clés reflètent les compétences comportementales les plus demandées sur le marché du travail d’aujourd’hui. D’ici à 2030, elles seront même au cœur du recrutement, selon une étude menée par Pôle Emploi

    Les études internationales s’accordent également à dire que certaines soft skills seront plus demandées que d’autres lors des entretiens, comme le montre l’étude du World Economic Forum de 2022. 

     

    À présent, nous souhaitons vous présenter notre interprétation, au sein d’Œuvre Collective, les principales compétences softs skills à développer pour réussir votre carrière. 

    • Intelligence émotionnelle

    Savoir gérer ses émotions et celles des autres est essentiel pour favoriser des relations de travail harmonieuses et une communication efficace. L’intelligence émotionnelle permet de prévenirf les conflits, de montrer de l’empathie et de faire preuve d’une grande compréhension face aux défis professionnels.

    • Adaptabilité

    Dans un monde en constante évolution, l’adaptabilité est devenue une compétence incontournable. Les personnes capables de s’ajuster rapidement aux changements, de s’ouvrir à de nouvelles idées et de s’adapter aux situations imprévues sont très prisées par les employeurs souhaitant des équipes agiles.

    • Créativité

    La créativité est l’atout majeur pour apporter des idées originales à un problème et pour se démarquer du reste du marché. Les individus créatifs peuvent transformer les défis en opportunités et insuffler une dynamique novatrice au sein de leur entreprise.

    • Esprit d’équipe 

    Collaborer efficacement avec ses collègues est essentiel pour atteindre des objectifs communs. L’esprit d’équipe implique l’écoute active, la capacité à partager l’information et à soutenir les autres dans leurs efforts.

    • Communication

    Une communication claire et concise est indispensable pour éviter les malentendus et les erreurs. Savoir exprimer ses idées de façon assertive, écouter activement et adapter son discours en fonction du public sont des compétences précieuses dans le monde professionnel.

    • Capacité à résoudre les problèmes 

    Les employeurs apprécient les individus qui peuvent analyser les situations complexes et trouver des solutions pragmatiques. La capacité à résoudre les problèmes de manière structurée et efficace est un atout qui différencie les meilleurs professionnels.

    • Leadership 

    Bien que certains pensent que le leadership est inné, il peut aussi être développé. Être capable d’inspirer et de motiver les autres, de prendre des décisions éclairées et de guider une équipe vers la réussite est une compétence inestimable pour progresser dans sa carrière.

    • Esprit d’entreprendre

    Le monde du travail à plus que jamais besoin de collaborateurs avec un état d’esprit d’entrepreneur qui se caractérise particulièrement par : 

    • l’envie de développer l’activité et les projets
    • la force de proposition
    • le droit à l’erreur
    • l’adaptabilité, que nous avons déjà abordé plus haut. 

     

    Développer ses soft skills

    Identifier ses forces et ses faiblesses

    Pour développer ses soft skills de manière efficace, il est primordial d’identifier ses points forts et ses domaines à améliorer. Cela permet de mettre en lumière les compétences comportementales déjà maîtrisées et celles qui nécessitent un travail supplémentaire.

    • Auto-réflexion : prenez le temps de réfléchir à vos expériences passées, tant sur le plan personnel que professionnel. Identifiez les situations où vos soft skills vous ont permis de briller, ainsi que celles où vous auriez pu mieux les appliquer.
    • Retours d’expérience : collègues, amis ou supérieurs : ces perspectives extérieures offrent des informations précieuses sur vos compétences comportementales et peuvent révéler des aspects que vous n’aviez pas considérés auparavant.
    • Évaluation des compétences : utilisez des outils d’évaluation des compétences comportementales pour identifier de manière objective vos forces et vos faiblesses. Ces évaluations aident à cibler les domaines spécifiques à développer. Profitez-en pour faire un bilan de compétences

     

    Établir des objectifs de développement

    Une fois que vous avez évalué vos soft skills, établissez des objectifs clairs et réalisables en définissant vos priorités : 

    1. Utilisez la méthode SMART pour rendre vos objectifs concrets. 
    2. Créez ensuite un plan d’action détaillé avec des étapes spécifiques pour développer chaque soft skill. 
    3. Assurez-vous de suivre régulièrement votre progression. 
    4. Recherchez des formations, des ateliers ou des ressources en ligne pour vous aider dans votre apprentissage, car le développement des soft skills peut se faire de différentes manières. 

    En adoptant cette approche proactive, vous renforcerez vos compétences comportementales essentielles pour réussir dans votre vie personnelle et professionnelle.

    Adopter une mentalité de croissance

    La mentalité de croissance repose sur la conviction que vos compétences et aptitudes sont évolutives. Quel que soit votre niveau de départ, vous pouvez les développer. . Cette attitude encourage l’apprentissage, la résilience, la persévérance et l’ambition. Cultiver cette mentalité a des avantages dans la carrière, les relations et le bien-être. Les défis deviennent des opportunités d’apprentissage et les échecs, des leçons pour progresser.

    Pour réussir au travail, adoptez un état d’esprit de croissance avec une ouverture d’esprit, une curiosité intellectuelle, et en développant de nouvelles compétences. Adaptez-vous au changement, surmontez les échecs, collaborez, montrez du leadership et relevez les défis.

    Pour en savoir plus sur la mentalité de croissance, consultez notre article dédié. 

    Se former

    Intégrer une formation axée sur les soft skills revêt un intérêt majeur dans le contexte professionnel actuel. Ces compétences comportementales, telles que la communication efficace, la pensée critique et la gestion du temps, jouent un rôle essentiel pour réussir dans divers domaines. 

    Elles permettent de mieux collaborer en équipe, de résoudre les problèmes de manière créative et d’adapter sa stratégie en fonction des situations changeantes. 

    Reconnaissant l’importance de cette dimension, Œuvre Collective se positionne en tant que partenaire en offrant des solutions et des opportunités de formation spécifiquement conçues pour renforcer ces compétences essentielles.

    En développant activement nos compétences comportementales, nous ouvrons la voie à un avenir professionnel plus épanouissant. Cultiver ces soft skills est la clé pour s’adapter, réussir et évoluer dans un monde du travail en perpétuelle mutation. 

    Vous souhaitez développer vos soft skills et transformer votre trajectoire professionnelle ? C’est le bon moment, prêt à vous démarquer ?

    Le stress : comment le gérer pour être plus productif ?

    Le stress : comment le gérer pour être plus productif ?

    Le stress, ce compagnon indésirable de notre quotidien, peut parfois entraver notre productivité. Apprendre à le gérer est donc essentiel. Dans cet article, nous allons vous donner des clés pour transformer ce frein en véritable levier de performance. Prêts à gérer le stress de manière efficace et sereine ? Alors, poursuivons ensemble.

    Identifier vos sources de stress

    Identifier vos sources de stress est une première étape pour mieux gérer le stress au quotidien. Cela peut être un environnement de travail bruyant, des délais serrés ou une charge de travail excessive.

    Prenez un moment pour réfléchir à ce qui vous stresse. Notez tout ce qui vous vient à l’esprit. Cette liste vous aidera à comprendre ce qui déclenche votre stress. Sortir la tête du guidon pendant 15 minutes pour faire cet exercice vous sera bénéfique. 

    Une fois identifiées, vous pouvez commencer à élaborer des stratégies pour gérer ces situations stressantes. Par exemple, si le bruit est une source de stress, envisagez d’utiliser des écouteurs antibruit.

    Dans le cas de délais serrés, révisez la planification de vos tâches. Vous pouvez ainsi challenger l’organisation de votre journée ou de votre semaine type, ainsi que les délais des projets dans lesquels vous êtes impliqué. Une bonne organisation peut aider à gérer le stress lié au temps. Mettre dans votre agenda à la fois vos contraintes personnelles et professionnelles, ou encore utiliser la matrice d’Eisenhower, va vous aider à prioriser et à assumer l’ensemble de vos rôles et responsabilités. Y compris celui de rester équilibré et en bonne santé ! 

    Comprenez bien que le stress n’est pas un ennemi. Il est naturel et peut même être bénéfique en petites doses. Il stimule et rend plus vigilant. Le but n’est pas de l’éliminer, mais de savoir le gérer.

    Apprendre à dire non pour éviter le surmenage

    Apprendre à dire non est une technique efficace pour gérer le stress. Il est normal de vouloir aider les autres, mais parfois, vous devez vous mettre en priorité. Accepter trop de responsabilités peut entraîner un surmenage et même un burnout.

    Évaluer l’importance et l’urgence de chaque demande vous aidera à décider si vous devez accepter ou refuser. Il est essentiel de respecter vos limites pour ne pas vous surcharger de travail.

    Dire non ne signifie pas que vous êtes égoïste. C’est une question de prendre soin de vous pour être plus productif. Vous ne pouvez pas donner le meilleur de vous-même si vous êtes stressé ou surmené.

    En apprenant à dire non, vous pouvez mieux gérer le stress, éviter le surmenage et augmenter votre productivité.

    Mais il n’est pas toujours aisé de dire non à son supérieur hiérarchique ou même à des collègues de bureau. Et pourtant, c’est possible de le faire dans l’optique de cultiver des relations de qualité. La communication non violente constitue une méthode toute indiquée. Pour découvrir cette approche, vous pouvez commencer par lire l’ouvrage de Marshall D. Rosenberg, Les mots sont des fenêtres.

    Pratiquer des activités relaxantes pour évacuer le stress

    Pratiquez chaque jour et chaque semaine des activités qui vous relaxent et vous procurent du plaisir. Donnez vous la permission de déconnecter, de se détendre et de se ressourcer. Voici quelques exemples d’activités à pratiquer sans modération : 

    • Les exercices respiratoires. Les possibilités d’exercices sont nombreuses et il vous appartient de les explorer pour voir ceux qui vous correspondent. J’ai pour ma part une préférence pour la cohérence cardiaque qui est facile à mettre en œuvre et génère des bénéfices visibles quasiment immédiatement en termes de réduction du stress et de retour à la concentration. 
    • Pratiquer une activité physique régulière Les bénéfices de pratiquer une activité physique sur la gestion du stress, même à faible dose, ont été démontrés par de très nombreuses études scientifiques. Pratiquez 3 à 5 fois 30 minutes de sport par semaine est suffisant pour mieux gérer son stress 

    Le yoga est aussi une excellente solution pour gérer le stress. Il mélange respiration, postures et méditation pour créer un état de relaxation profonde.

    • Les promenades dans la nature sont bénéfiques. Elles vous aident à vous reconnecter avec l’environnement et à vous apaiser.
    • La lecture, la peinture, le jardinage sont des activités relaxantes. Elles vous divertissent et vous permettent de vous évader.

    Choisissez l’activité qui vous convient le mieux. Sortez la tête des écrans et apprenez à apprivoiser votre stress.

    Adapter son organisation de travail pour minimiser le stress

    Adapter votre organisation de travail est une stratégie efficace pour gérer le stress.

    Un environnement de travail désorganisé peut augmenter votre niveau de stress. Alors, commencez par dégager votre espace. Un bureau ordonné favorise la concentration et la productivité.

    Planifiez votre journée. Établir des priorités et un emploi du temps réaliste aide à gérer le stress. Cela vous permet de vous concentrer sur une tâche à la fois et de ne pas vous sentir submergé. Vous pouvez aussi bloquer des créneaux dédiés à du travail personnel sur des sujets de fond ou tout simplement pour souffler pour tenir le rythme. 

    Apprenez à déléguer. Si vous avez trop de travail sur vos épaules, partager les responsabilités peut réduire le stress. Lâchez prise, vous ne pouvez pas tout faire vous-même.

    Enfin, faites des pauses. Le repos est indispensable pour éviter l’épuisement et gérer le stress. Prenez le temps de vous étirer, de vous hydrater et de vous aérer l’esprit chaque heure.

    En adaptant votre organisation de travail, vous pouvez réduire le stress et augmenter votre productivité. Allez-y doucement, un pas à la fois, et rappelez-vous que le but est de créer un environnement de travail sain et équilibré.

     

    Adopter une alimentation équilibrée pour gérer le stress

    Vous cherchez à gérer le stress ? Une alimentation saine et équilibrée est une arme puissante contre le stress.

    • Les aliments riches en vitamines, minéraux et antioxydants aident à combattre le stress. Ils renforcent votre système immunitaire et augmentent votre niveau d’énergie. Ainsi, fruits, légumes, céréales complètes, légumineuses, noix et graines devraient être vos alliés quotidiens.
    • Quant aux aliments à éviter? Le sucre raffiné, la caféine et l’alcool. Ils augmentent votre niveau de stress et diminuent votre capacité à le gérer. Privilégiez les aliments naturels et non transformés.
    • Hydratez-vous suffisamment! L’eau contribue à une bonne circulation sanguine. Cela permet d’éliminer les toxines stressantes de votre organisme.
    • Prenez le temps de manger. Savourez chaque bouchée. Cette pause vous permet de vous reconnecter à vos sens et aide à gérer le stress.

    Manger équilibré est un choix judicieux pour votre santé et votre bien-être. Gérer le stress devient plus facile quand vous prenez soin de votre alimentation.

     

    En somme, vous avez en main plusieurs stratégies pour gérer le stress. C’est en l’apprivoisant et en l’intégrant dans votre quotidien que vous pourrez booster votre productivité. De la pratique d’exercices respiratoires à la mise en place d’une routine saine, vous avez tous les outils pour transformer le stress en allié. Rappelez-vous, le stress n’est pas votre ennemi, c’est votre approche qui compte. Alors, respirez, souriez et allez de l’avant.